>><<

Histoire originale

Histoires Ă  suivre

image thème

Du temps au temps

Petite Lady

Résumé : Katy et Bryan couple développé dans "Remember me" (City Hunter), Katy à 14 ans et Bryan 22 ans. Cette histoire relate leur relation débutante, les amenant à se découvrir, une sorte de quête du bonheur et va les amener à se remettre en question pour mieux avancer ! Les lecteurs de mon autre fic s'y retrouveront ^^ les autre découvriront

Disclaimer : Tous les personnages m'appartiennent exceptés les intervenants de City Hunter qui ont un rôle mineur ils appartiennent à Tsukasa Hojo

Il Ă©tait temps de mettre la suite n'est ce pas ? bonne lecture Ă  tous !

Chapitre 16

Katy hocha la tête, alors qu’il l’amenait dans la salle de bain avec une baignoire à la taille de Falcon.

- On aura de la place, déclara Bryan, moi qui me faisait une joie de te tenir dans mes bras.
- Y’a trop de place, déclara la jeune fille, à la maison… chez mon oncle et ma tante, on a dû installer un tapis de bain pour éviter que je glisse.
- Hum, alors l’objectif de te garder dans mes bras est encore d’actualité, répartit-il avec un sourire carnassier tout en finissant d’enlever la robe de sa femme.

Il déglutit avec difficulté quand il vit le léger soutien-gorge, qui soutenait les globes les plus parfait qu’il n’eut jamais vu…
Rapidement il lui mit une serviette sur les épaules et il la souleva pour que la robe tombe à ses pieds. A cette occasion Katy put sentir son désir pendant qu’elle défaisait son pantacourt et le faisait glisser sur ses hanches jusqu’à ses cuisses, là, elle lui dit :

- Tu peux me rasseoir Bryan.
- C’est normal tu sais…

Katy leva un regard interrogateur vers lui.

- Ma réaction…
- Je sais bien, Bryan, je n’y suis toujours pas habituée c’est tout. Avant tu faisais ton maximum pour la faire passer inaperçue.

Le jeune homme hocha la tête et aida Katy a enlever ses baskets basse et à faire glisser son pantalon le long de ses chevilles. Ensuite d’une main hésitante, Katy voulu l’aider à son tour pour défaire sa chemise, Bryan la regarda d’abord étonné tout en la laissant faire. A force d’être fixée de la sorte, Katy rougit et se mordit la lèvre mais elle continua.

- Et bien jeune fille on se dévergonde ? demanda-t-il amusé alors qu’elle arrivait au dernier bouton.

Elle respira profondément et lui répondit :

- Il faut croire que cette bague y est pour beaucoup.

Elle osa ses essais tout en regardant Bryan dans les yeux à laisser ses mains se balader sur son torse ainsi découvert. Quelques secondes plus tard la chemise tomba sur le sol alors qu’elle continuait ses douces tortures. Au bout de quelques minutes Bryan lui emprisonna les mains et les embrassa en lui disant :

- ça suffit Katy… si je n’étais qu’un homme, mais je suis l’homme qui t’aime.

Il se pencha et l’embrassa avant de se redresser de se tourner pour enlever le pantalon. Quand ce fut fait, il se retourna avec un grimace tandis que Katy ne quittait pas des yeux la bosse révélée par le boxer. Elle murmura avec un sourire incertain :

- Je vois…

Bryan se retourna pour arrêter l’eau et la porta pour la positionner dans la baignoire.

- ça va ?
- oui.

Le jeune homme se glissa dans l’eau près de Katy et l’aida à se maintenir assise, voyant l’échec de la manœuvre. Il se résigna à se relever et à prendre Katy entre ses jambes.
Il la resserra contre lui et la sentit se figer il lui dit avec un brin d’humour obligé :

- Tu veux que je mette une serviette entre nous ?

Katy pivoine ne put que secouer la tête. Elle ferma les yeux et se concentra pour se dire que c’était « normal » cette réaction, normale leur proximité. Après ces derniers mois à se cacher pour être un peu ensemble, cette soudaine proximité permanente la surprenait. Elle finit par se détendre et se laisser aller contre son mari.
Bryan se détendit à son tour, il avait peur d’aller trop vite, l’inviter à se baigner en sous-vêtements et au final l’avoir tout contre lui. Il en faisait probablement trop. Quand il la sentit se détendre contre son érection, il soupira de soulagement. Il déposa un baiser contre son cou, et la sentit frissonner.
Invité par cette réaction il la caressa doucement, tout en sachant que de son côté cela lui mettrait le corps en feu, mais il voulait l’aider à apprivoiser ses sensations. Avant il le faisait mais avec beaucoup de retenues parce qu’ils n’étaient pas encore mariés, mais là…
Au fur et à mesure de ses gestes il l’observait, pour voir quand il pourrait passer à la vitesse supérieure.

- Tu es bien installée Katy ?
- Oui, je vais bien, fit-elle en appuyant sa tête contre son épaule. L’eau est chaude ça fait du bien !
- J’aime te prendre dans mes bras, murmura-t-il. Tu as peur ?
- De quoi ?
- …
- oh… un peu bien sûr, mais je sais tu feras doucement quand ça arrivera.
- Voyons voir si je peux te préparer à tout ça… murmura-t-il à son oreille.

Il lui mordilla doucement l’oreille et que sa main droite descendait le long de son ventre. Pour l’arrêter sur la hanche, il se mit à titiller l’élastique du sous-vêtement.

- Mais attends, fit-il en écarquillant les yeux et en se décalant légèrement. Ton soutien-gorge est aérien, mais le bas, fit-il en jaugeant, hum un string.

Bien que cet habit, lui donna des idées plus que baveuse, il se retint et l’embrassa dans le cou avant de se redresser et tout en l’emprisonnant de ses jambes pour qu’elle ne glisse pas. Il prit le savon sur le rebord et après avoir dégrafé le soutien-gorge arrachant un petit cri de surprise à sa femme, elle se retourna pour le voir et il lui adressa un sourire diabolique.

- N’oublie pas que je t’ai déjà vue nue ma chérie… insinua-t-il doucement.

En effet Katy se souvenait comme si c’était hier du jour où elle avait pénétré dans sa chambre entourée d’une serviette et qui dans un exercice de contorsion pour fermer la porte, était tombée. D’habitude elle ne s’en souciait pas, mais cette fois-là quand elle s’était retournée elle avait vu le regard stupéfait de Bryan posé sur elle, la détaillant avec intensité, surpris que l’enfant qu’il avait connu ait tant grandi, et devenue si féminine…

- Moi aussi je t’ai déjà vu nu, fit-elle avec un sourire espiègle malgré les joues légèrement colorées.
- Laisse moi te laver mon amour murmura-t-il.
- Je sais me laver, répliqua-t-elle.

Bryan comprit immédiatement son erreur il l’attira à lui et l’aida à se retourner pour qu’ils se retrouvent face à face. Les jambes de Katy passant au dessus des siennes et celle de Bryan repliées derrière le dos de la jeune femme pour pas qu’elle tombe…
Par réflexe Katy croisa ses bras sur sa poitrine dont le soutien-gorge ne soutenait presque plus rien.

- Laisse moi te voir Katy…

Doucement il l’amena à laisser le sous-vêtement s’enlever laissant apparaître au dessus de l’eau les deux dômes les plus attirants que Bryan n’ait jamais vu.

Il lui caressa la joue.

- Pour moi te laver est un plaisir Katy. Je sais que pour toi c’est comme perdre un peu d’indépendance, mais je t’assure cela sera un délice si tu me laisses faire.
- Cela va te mettre ton corps en ébullition alors que tu as l’air d’être déjà très en forme en montrant de la tête le renflement au niveau de son bas-ventre.

Bryan la regarda les yeux écarquillés, il était stupéfait par son franc parlé. Il ouvrit la bouche puis la referma, tandis qu’il apercevait la lueur amusée dans les yeux de sa femme.

- Laisse moi gérer cela tu veux Katy.

Les joues un peu rouge elle hocha la tête. Bryan commença donc sa séance de nettoyage.


Un peu plus tard, Bryan observait sa Katy endormie comme un chat dans leur lit. Lui ne dormait pas et pour cause, il avait un peu de mal à gérer sa frustration.
La jeune fille elle, n’avait pas eu ce genre de problème constata-t-il avec amusement. Il appréciait quand même le fait qu’elle soit tout contre lui. Et le fait qu’il n’ait pas à culpabiliser de sa réaction étant donné qu’elle était sa femme.
Bryan resserra son étreinte autour d’elle et lui embrassa le haut du crâne.

- Hum ? fit Katy en ouvrant un œil ensommeillé.
- Je ne voulais pas te réveiller.
- Hahum, fit la jeune fille en reposant sa tête sur son épaule et en capturant la main libre pour y déposer un baiser.

Un geste qui bien que très innocent ne fit qu’accroître son envie d’elle. Il décida de se venger. Il reprit la main de Katy et lui embrassa et lécha le poignet dans un geste de pure sensualité. Il la sentit frémir. Elle tendit sa main libre pour caresser la joue de son mari, un sourire tendre et encore un peu ensommeillé errait sur les lèvres de Katy, alors que Bryan reprit avec délectation son petit manège jusqu’à ce que sa femme s’endorme…

Il resta éveillé une bonne partie de la nuit à cause de sa promesse et quelle promesse, restait à convaincre Katy que c’était la meilleure solution…

Deux semaines et demi plus tard.

Katy jeta un coup d’œil à son mari, puis regarda défiler le paysage.
Un mois, cela faisait un mois qu’ils étaient mariés, déjà, songea-t-elle.

- On est bientôt arrivé ! constata-t-elle avec une joie feinte.

Le jeune homme se contenta de hocher la tête, perdu dans ses pensées. Il était un peu déstabilisés, il avait voulu faire au mieux pour Katy, et leur relation avait faillit coupé court.
Il soupira.
Il se gara vers le café de ses beaux-parents et fit le tour de la voiture pour tenir la portière à sa femme pendant que celle-ci se préparait à sortir et à marcher avec ses béquilles.
Il savait qu’il ne devait pas l’aider, sa Katy était trop indépendante, elle souffrait d’être en fauteuil la plupart du temps mais généralement elle le gardait pour elle.

Par habitude il ouvrit la porte et la tint pour que Katy passe, elle hocha seulement la tête en guise de remerciement. Visiblement, songea-t-il, ce n’était pas encore gagné.

- C’est la dernière fois que je me conduis en gentleman grommela-t-il.
- Tu as dis quelque chose demanda Katy a des années lumières des pensées rocambolesque du jeune homme.
- Non, vas-y passe Katy, fit-il doucement en lui offrant un sourire charmant.

La clochette de la porte retentit, mais le petit peuple dans le café ne sembla pas remarquer leur entrée jusqu’à ce que Katy déclare :

- Nous voilĂ  !

Toutes les têtes se tournèrent vers eux, bientôt un cri retentit et Miki vint prendre Katy dans ses bras. La retenant pour pas qu’elle tombe à cause de cette étreinte.

- Ma chérie ! comme tu nous as manqué, votre voyage de noce s’est bien passé ?

« Surtout, maintenir l’illusion » songèrent Katy et Bryan.

- Oui c’était de sympa comme vacances, fit Katy.

Bryan songea que cette phrase n’était pas le genre de déclaration que leurs amis attendaient. Sans doute s’attendaient-ils à ce qu’ils déclarent : « nous sommes très heureux d’avoir franchi le pas ! »
Evidemment, il l’était, il avait fait de Katy sa femme mais pas dans tout les sens du terme, même si leur mariage était encore précaire, allait-il chapoter avant d’avoir montrer toute ses capacités ?
Pourquoi s’était-il laissé convaincre par Nicolas de ne pas consommer le mariage avant six mois ? résultat des courses, Katy avait déclaré que s’il n’y avait pas consommation, elle demanderait le divorce à leur retour !
Et il avait malencontreusement laissé échapper que l’idée lui avait été soufflée par Nicolas, le frère de sa femme, et ce dernier allait surement en prendre pour son grade également.
Bryan devait cependant reconnaitre que l’idée lui était venue auparavant.

Miki leva un sourcil interrogateur, pour des jeunes mariés, ils ne semblaient pas très épanouis. Sans doute une querelle d’amoureux, d’ailleurs n’avaient-ils pas avancé leur retour d’une semaine ?

Elle décida de ne pas poser de questions et proposa aux deux jeunes mariés de s’asseoir à une table. Falcon déposa quelques secondes plus tard une glace impressionnante devant sa fille adoptive.

- Merci Oncle Falcon !

Katy profita du fait qu’il soit à porté de main pour l’embrasser sur la joue, aussitôt son père adoptif vira au rouge carmin et de la fumée sortie de partout. Katy sourit tendrement.

« Premier vrai sourire depuis notre mise au point » songea Bryan avec amertume.

Devant Bryan fut déposé un café qu’il touilla distraitement jusqu’à ce que le liquide soit froid. Avisant que Katy baillait, il déclara :

- On va y aller, le retour a été long.
- Bien sûr ! fit Miki.

Elle leur prépara rapidement des bentô que Bryan porta jusqu’à la voiture. Il les déposa sur la banquette arrière et tint la porte à sa femme.

Une fois installé dans la voiture, il lui caressa la joue pour remettre une mèche en place, sa femme lui décocha un regard agacé, mais derrière son agacement il découvrit de la douleur, elle était blessée et il ne comprenait pas pourquoi.

Ne sachant quoi dire, il mit le contact pour retourner dans leur appartement.

Quand ils entrèrent dans leur appartement, il sentait un peu le renfermé et il y faisait une chaleur étouffante. Sans attendre Katy alla dans leur chambre, elle était épuisée et savait que si elle ne se reposait pas, ses jambes refuseraient de la porter. Aussi alla-t-elle dans la chambre.

- Attends, fit Bryan en entrant dans la chambre. Je vais changer les draps.
- Je peux le faire.
- Je sais Katy. Mais tu es fatiguée, alors laisse toi faire mon cœur.

A contrecœur elle s’avoua vaincue et s’assit sur le banc devant la fenêtre elle tendit les mains et remonta peu à peu les stores pour laisser diffuser un peu de lumière. Elle allait pour ouvrir quand Bryan l’en empêcha en mettant une main sur son poigné.

- Quoi !
- Arrête Katy…

Elle tourna la tête vers l’extérieur, elle qui avait tant rêvé de venir vivre définitivement dans l’appartement de Bryan, ne plus avoir à se cacher de tous ou presque. Et voilà qu’elle se sentait prisonnière.
Elle n’était pas prête de l’oublier sa lune de miel, tout avait été parfait, Bryan avait été attentionné charmant tendre, il l’avait embrassé mis son corps en ébullition puis s’était éloigné. Le but de cette lune de miel d’un mois était de faire d’elle sa femme dans tout les sens du terme. Et voilà que monsieur son mari, jouait les gentlemans en refusant de lui faire l’amour car elle est trop jeune. Si elle l’avait pu elle l’aurait étranglé.

- Je devrais peut-être retourné vivre chez mes parents.
- Hors de question ! tu es ma femme !
- De nom seulement. Et tu ne sembles pas prêt à faire quoi que ce soit pour changer ça, ironisa Katy.

Bryan se passa une main dans ses cheveux et soupira.

- Tu n’es pas prête à faire l’amour…
- Bah voyons, encore une idée de mon frère je suppose. Dans ce cas pourquoi ne pas demander le divorce, ou plutôt une annulation puisqu’il n’y a pas eu de nuit de noce !
- Non. Je ne veux pas.
- Tu as pas l’impression d’être un peu contradictoire ! tu veux que je vive ici, mais tu ne veux pas faire de moi ta femme, tu veux que je vive ici, alors que cela ne sert à rien puisqu’il ne se passera rien.
- Pas toujours ! je t’aime !
- Tu m’aimes tellement que tu ne veux pas de moi.

Excédé Bryan prit sa main et la bosse de son entrejambe.

- Pas envie de toi ? tu rigoles j’espère.
- Et alors qu’est ce que tu attends dans ce cas !
- Tu n’es pas prête.
- Ça suffit ! fit-elle en retirant sa main et en le poussant de toutes ses forces.
- …
- Va-t-en Bryan, sort de cette chambre. Puisque tu ne veux pas de moi, je préfère dormir seule.

Il la prit dans ses bras.

- Lâche moi !!!
- Non, je vais t’allonger sur le lit, pour que tu te reposes.

Katy retenait ses larmes autant que possible, elle ne voulait pas pleurer devant lui.

- Katy, je fais ça parce que je t’aime.

Elle ne répondit pas et tourna la tête de l’autre côté. Quand elle entendit la porte se fermer derrière lui, elle laissa alors s’échapper les larmes tant retenues.

Bryan s’adossa à la cloison, il entendait ses sanglots, mais il ne pouvait pas la consoler, elle ne le voulait pas, par lui.

Il ferma les yeux, bon sang, il l’aimait plus que tout au monde ! il voulait qu’elle soit heureuse et il n’arrivait qu’à la faire pleurer. Il quitta le couloir pour se diriger vers la fenêtre du salon et passa sur le balcon. Lui qui n’avait pas fumé depuis des années, avait tout à coup envie d’une cigarette.
Que pouvait-il faire pour débloquer la situation ? Katy avait insisté pour qu’ils rentrent malgré le fait qu’ils avaient prévu un mois de lune de miel.

Combien de temps resta-t-il sur le balcon il ne le savait pas, il avait besoin de prendre l’air de se défouler.
Il alla dans la chambre et constata que Katy avait fini par s’endormir, il l’observa comme il lui était déjà arrivé de le faire un bon nombre de fois. D’habitudes dans son sommeil elle était décontractée alors que là, il voyait une petite veine saillir au niveau de sa tempe et sa respiration difficile, il voyait ses joues trempées de larmes et elle sanglotait dans son sommeil, un peu à la manière des touts petits après un gros chagrin.

Il était malheureux de la voir si malheureuse, ce n’était pas son objectif en l’épousant ! loin de là ! il voulait la voir rire comme avant et plus encore il voulait plus jamais voir le doute e l’incertitude et il avait échoué.

Il ferma doucement la porte déposa un message comme quoi il était sorti faire un tour.

Ses pas le menèrent vers un endroit qu’il appréciait tout particulièrement, c’était un temple shintoïste tout en haut de marches et ce dernier donnait accès à une fantastique vue de Tokyo.

Il ne savait pas quoi faire, il désirait Katy plus que tout, il avait eu le plus grand mal possible à se contenter de léger attouchement pendant leur lune de miel.
Il ne voulait pas lui faire mal et il savait très bien que la première fois était douloureuse, il était au milieu d’un véritable dilemme.

Elle l’avait menacé de demander le divorce et lui s’y refuser, hors de question, il ne voulait pas se séparer d’elle, il eut un rire amer, avec tout le mal qu’ils avaient eu à être ensemble !

Il s’assit sur un banc et se prit la tête entre les mains.
Dire que ce désastre était dû à son meilleur ami Nicolas, lui était déjà pas bien sûr qu’il soit raisonnable de consommer leur union mais quand Nicolas lui avait dis que se serait pas bien, il était demeuré subjugué. Il se mordit la lèvre, il voulait Katy, juste Katy, sa Katy. Alors il avait promis de ne pas consommer avant ses dix-huit ans sachant qu’il subirait l’enfer sur terre à l’avoir à porté de main légalement tout en étant contraint à sa promesse !

Quand il rentra chez eux, rien n’avait bougé, l’espace d’un instant il fut saisi d’une peur invraisemblable l’avait-t-elle quitté ?
Terrifié à cette idée de se retrouver seul, il alla jusqu’à leur chambre, cette chambre que Katy lui avait interdit d’utiliser « puisqu’il ne voulait pas d’elle », une gageure songea-t-il vu à quel point il la désirait.

Elle était toujours là allongée, elle avait cessé de sangloter dans son sommeil, mais son visage était si triste, qu’il sentit son cœur se serrer. Mais il ne connaissait pas de solution, il ne voulait pas abuser d’elle !