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Manga / Anime

Sailor Moon

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Deux mondes confondus (version 1)

Petite Lady

Résumé : Fic Alternative - Redécouvrez l'ancienne version de ma fic Deux mondes confondus. Il existe une nouvelle version de cette fic en cours d'écriture ^^ en attendant profitez de cette histoire ^^

Disclaimer : Les personnages de Sailor Moon appartiennent Ă  Naoko Takeuchi. Les autres sont Ă  moi ^^ pas touche !

Chapitre 5 :: Tristes conséquences, lourdes responsabilités

Je tourne dans la chambre, comme un loup en cage. Je n'arrive pas à me dire que rien ne va se passer, que mon monde ne va pas s'effondrer, je déteste ce sentiment que je vais tout perdre. Jeremy me regarde il ne sait pas quoi faire, il n'aime pas quand je suis dans cet état émotionnel, il aimerait faire quelque chose mais il ne sait pas quoi. Il commence à s'inquiéter lui aussi à cause de mon pressentiment. Finalement il se lève et me prend dans ses bras et me berce doucement. Quand il sent que je me détends un peu il m'embrasse et m'allonge sur son lit tout en continuant de m'embrasser. Tout d'un coup des larmes coulent de mes yeux, je me sens envahie d'un sentiment de tristesse le même que lorsque vous dîtes "adieux" à ceux que vous aimez avant même que l'on vous annonce leur disparition. Jeremy s'aperçoit à l'instant même ou les premières gouttes commencent à couler. Il arrête nette de m'embrasser et me demande : - Je te fais mal, tu te sens mal à l’aise ? demande t'il inquiet. Je fais non de la tête.

- Pourquoi pleures-tu alors ? fit-il de plus en plus inquiet.

Les larmes coulent toujours sur mes joues, elles coulent toutes seules, je ne peux pas les arrĂŞter, je commence Ă  trembler.

- Je vais les perdre, ils vont mourir !? Je vais me retrouver toute seule ! Je ne veux pas ! Je ne veux pas !

Jeremy me soulève et m'amène à lui et me demande anxieux :

- Qui va mourir?

- Maman, Antoine et ma petite sœur Elssy. Je ne veux pas que ma sœur meurt, je l'empêcherais tu entends je l'empêcherais même si je dois utiliser le maximum de mes capacités et que je dois mourir. Je ne veux pas la perdre, elle me rappelle trop ma Petite Lady. Je sais qu'elle ne l’a pas. Mais elle a le même âge que Stelli avait quand on me la enlevé.

Le voilà le problème pense Jeremy, cela lui rappelle la disparition de notre enfant sur le Millénium. Cet enfant que nous n'aurions jamais dut avoir puisque nous n'aurions jamais dut être ensemble. Stellina était promise à un autre à un dénommé Prince Torial, mais nous étions tombé amoureux l'un de l'autre et avions eu un enfant. Je n'ai jamais connu cet enfant pour la bonne raison que la Reine Stellaire lorsqu'elle s'est rendu compte de notre Idylle, nous sépara et nous interdit de nous voir. Je n'ai pas vu ma princesse pendant près d'un an. Puis un balle fut organisé auquel je fus convié, je pu enfin revoir ma princesse que j'aimais tant. Un amour impossible. Aussi quel ne fut pas ma surprise quand je l'a vie avec la peau couleur de cendre alors que son teint avant était si rose si plein de vie, elle semblait si faible mais à ma vue elle sourit. La Reine m'avait pris en aparté et annoncé que je pouvais revoir ma princesse car cette dernière était assez déprimée. A celle-ci elle avait dit la même chose mais avait précisé que je devais ignorer l'existence de Stelli, la princesse avait acceptée à contre cœur cette condition mais pour pouvoir voir son Amour qu'aurait-elle pas accepté. Et cela avait duré pendant près de deux ans et demi, mais lors du dernier Balle qui fut donné sur la Lune Etoile, elle m'avait dit toute la vérité sur l'existence de sa fille chérie, notre fille, et avait dit qu'elle aurait aimé que je la connaisse et que la guerre nous l'avait enlevé. De quelle façon je ne l'ai jamais su? Je ne lui ai jamais demandé car je sais que cela la rend triste.

Tout d'un coup il sortit de son songe nostalgique et serra encore plus fort MĂ©lina dans ses bras, et lui dit tout bas :

- Tu devrais dormir, tu es à bout. Au fait j'ai oublié de te demander si la gifle que tu as reçut par ton beau-père ne t'avait pas fait trop mal, ta lèvre est enflée. Je suis désolé je n'ai pas pu intervenir mon père m'en a empêché.

- Tu as entendu quand il m'a donné la gifle ? Je lui demande intriguée

- Oui je l'ai entendu, il a dut frapper fort.

Il touche ma lèvre du bout des doigts et j'ai ma lèvre qui se tord. Je ne pensais pas que ça me faisait si mal je n'y pas pensé un seul instant. Voyant que ça me fait mal, Jeremy approche sa bouche de l'endroit douloureux et m'embrasse dessus sur le coin gauche de la bouche. Je sens son pouvoir en moi il guérit ma blessure instantanément, il en profite parce qu'il continue de m'embrasser de plus en plus passionnément. Au bout d'un moment, il arrête et s'allonge à côté de moi. Je me serre contre lui et m'endors ainsi. C'est alors que je fais un rêve étrange.

Je ne suis pas acteur, je ne peux qu'observer la scène, je ne crois pas que je puisse intervenir sur les événements de ce rêve. Je suis à l'intérieur de la voiture qui emmène ma mère, mon beau père et ma petite sœur en direction du nord-est de la ville de San Francisco. Pour cela ils utilisent un périphérique qui contourne la ville. Alors qu'ils sortent d'un tunnel, il y a un camion citerne devant nous. C'est alors que se produit une explosion, je ne vois pas qu'elle en ait la cause mais les conséquences sont terribles !!! Le chauffeur du camion perd le contrôle de son véhicule et celui-ci se renverse en travers de la chaussée, il perd son essence, on entend une seconde explosion, le camion s'embrase, un nuage de fumé noir s'envole vers le ciel, les flammes sont béantes. Antoine à un bon reflex et freine à fond, malheureusement cela ne suffit pas, la voiture dérape et s'encastre en plein dans la citerne du camion, l'impact provoque une autre explosion, cette fois ci la voiture est une vraie fournaise. Ma mère est inconsciente, mon beau-père aussi, Elssy est terrifiée, a les yeux grands ouverts, elle aussi regarde la scène avec effroi, je m'approche, je veux la protéger. Elle semble me voir, elle m'appelle :

- DEDY ! DEDY ! J’ai peur, aide moi !! Les flammes l'atteignent à présent, elle hurle. Je déclenche mon cristal, je sais que je ne peux pas les sauver tout les trois, je sais même pas si mon cristal peut fonctionner à un endroit alors que mon corps est ailleurs. J'ai bien compris la situation, je suis en train de dormir mais mon esprit, mon âme est restée auprès d'Elssy car elle avait peur quand je l'ai quitté et que j'étais inquiète. Je tente le tout pour le tout je hurle :

- Pouvoir du Cristal d'Argent Stellaire révèle ta puissance, à travers la distance ! Protège ma petite sœur je t'en supplie ! Cristal d'Argent agis tout de suite !! Rien ne se passe, il ne veut pas fonctionner!! Elssy hurle toujours, elle tousse, elle s'étouffe !! C'est alors que je vois soudain une faible lumière enveloppé le corps maintenant inconscient de ma petite sœur, elle est violette et j'entends dans un murmure.

- Je t'en pris sauve la, sauve moi en la sauvant.

Je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que je peux la sauver, je cris :

- PROTECTION DE LENDAY !!

Cette fois ci mon pouvoir fonctionne, une lumière blanche sort de mon pendentif mais aussi une lumière rose m'enveloppe et enveloppe ma famille, d'ou vient ce pouvoir d'ou vient-t-il ? Et cette lueur autour du corps de sœur qu'elle est son origine, qu'elle était cette voix.

Soudain je voix une ombre, mais au moment ou j'essaie de la regarder plus attentivement, je sens que l'on me tire de mon sommeil.

- Mélina, Mélina réveilles toi !

C'est la mère de Jeremy qui parle, j'ouvre les yeux, Jeremy me regarde il a de la tristesse. Je sens qu'il s'est passé quelque chose !! Ce rêve : rêve ou réalité ? Je dis :

- Qu'est ce qui se passe ? (au fond de moi je sais ce que c'est)
- Tes parents, ta sœur.... il y a eu un terrible accident impliquant plusieurs voitures.

Je commence Ă  trembler, je connais la suite. Est-ce qu'ils sont morts? Je n'ose pas poser la question. Je ne veux pas me retrouver toute seule. La seule chose que j'arrive Ă  dire c'est :

- Ils ... ils sont morts ?? (Les larmes coulent toutes seules)

Françoise répond avec tact :

- Je l'ignore, ils ont été conduits à l'hôpital Central ou il y a une section pour les grands brûlés. Nous t'emmenons à l'hôpital pour les voir. Lèves toi et change-toi.

Je me regarde et me rend compte que je suis en pyjama.

Ils sortent de la chambre à l'exception de Jeremy qui reste avec moi. J'aurais préférée qu'il sorte lui aussi mais je sais que même si je lui demandai il ne le ferait pas. J'essaye de me lever mais mes jambes se dérobent sous moi. Je retombe lourdement sur le lit comme si j'avais utilisée toute mon énergie, toutes mes forces. Jeremy s'approche de moi essaie de me rapprocher de lui pour me prendre dans ses bras. Je le repousse et finis par réussir à me lever, mes jambes sont encore en guimauve mais bon, j'arrive à marcher. Pour me changer c'est simple, j'enlève mon haut après je passe ma chemise noire en jean qui est trop grande et arrive au milieu des cuisses sur le devant et l'arrière. J'enlève le bas pour passer mon jean noir. L'ironie du sort veut que ce soit les mêmes vêtements que je portais jeudi pour l'enterrement de mon père, j'espère que ce n'est pas un mauvais présage.

Jeremy se croit responsable de ce qui s'est passé. Il pense que Mélina aurait pu partir avec sa famille et que peut-être elle aurait pu intervenir pour minimiser les dégâts. Mais intérieurement il se réjouit que Mélina ne fût pas dans la voiture parce qu'elle aurait pu mourir. Pourquoi l'a t'elle repoussée si elle ne le prenait pas pour responsable. Il retente de l'approcher, mais une force l'empêche d'avancer, il connait cette force qui l'a protège, il avait déjà essayé de la briser mais sans résultat. Il recule donc et reste à l'écart.

Dans la voiture qui m'emmène à l'hôpital voir sa famille elle se dit que l'ironie du sort agis encore. Pourquoi çà? C’est simple, sa fait six ans que ce centre a été construit car l'autre était dépassé au niveau des normes et de l'équipement et devinez qui l'a subventionnée ? Eh bien il s'agit de ma mère elle en est devenue la directrice. Le pire, c'est que cela fait seulement un mois et demi que le service des grands brulés a ouvert, je suis bien placée pour le savoir puisque j'ai été obligée par ma mère d'assister à l'inauguration.

Je pris pour que ma sœur vive, surtout elle mais je souhaite également que mes parents survivent. Jeremy, m'observe, je sens son regard sur moi, il est inquiet pour moi. Je voudrais aller dans ses bras mes je ne le fais pas parce que j'ai de plus en plus l'impression que je porte malheur. Je ne veux pas qu'il arrive malheur à ceux que j'aime Jeremy, Jessy, Manuel, Magali.

Dans l'hôpital, je suis en première position, je n'ai pas envie de demander mon chemin. De toute façon, ça ne servirait à rien puisque je connais le chemin. Je traverse les couloirs rentre dans la partie réservée aux personnels hospitaliers, je tourne dans la coursive qui mène à la cardiologie, puis vais tout droit pour atteindre la nouvelle aile. Les parents de Jeremy et lui même me suivent et observe le climat de maladie et de souffrance des services que l'on traverse. Françoise me demande :

- Tu sembles connaître tout les recoins de cet hôpital. Comment cela se fait-il?

Je réponds d'un air absent sans faire attention à ce que je dis :

- C'est ma mère qui a subventionné la création de cet hôpital, elle en ait devenue la directrice, toutes les décisions importantes transites par elle. Il a été crée en 1992, et le service des grands brûlés a été inaugurés il y a à peine un mois et demi. Je connais les recoins de cet hôpital car j'étais présente lors des inaugurations, l'ouverture de l'hôpital et celui de la nouvelle aile.

Ils s'avaient que ma mère a les bras long depuis que j'ai 8 ans, mais ils ignoraient qu'elle avait investit dans de tel chantiers. Jeremy me demande :

- Pourquoi tu ne m'as tu pas dit que tu venais en avril dernier, on se serait vu.
- C'est parce que premièrement ça s'est décidé la veille pour le lendemain et de plus tu étais ou devais je sais plus partir pour Mayotte.

Nous arrivons dans le service des grands brûlés, une infirmière plus qu'enveloppé me dit :

- Vous n'avez rien Ă  faire ici, veuillez sortir je vous pris.
- Je suis autorisé à resté ici, et ces personnes sont avec moi.
- Et de quel droit ? Auriez-vous le droit de rester ici alors que peu de membres du personnel en ont l'autorisation.

Je commence à bouillir, il est près de 03h00 Am, j'en ai ras le bol des ordres. Avant que j’aie le temps d'exploser, un médecin arrive et demande :

- Que font ces gens ici ? Cette zone est interdite.

Je dis exaspérée parce que je le connais il est sympa.

- Bonjour Docteur Messini. Vous souvenez-vous de moi ?

Avant qu'il ne réponde je dis :

- Je suis Mlle Mélina Kay, je suis ici car ma mère, Mme Maggy Martero a été hospitalisé dans votre service ainsi que mon beau-père Antoine Assama et ma petite sœur Elssy. Je voudrais savoir quel est leur état et quels sont leur chance de s'en sortir?

- Mademoiselle Kay, votre mère est-elle la directrice de ce centre ?

Visiblement il ne m'a pas reconnu, ce n’est pas très grave. J'acquiesce de la tête.

- Alors ? Quels sont leurs états de santé ? Demandais-je pour la deuxième fois.
- Ils sont dans un état assez grave, ils ont été gravement brûlés.
- C'est Ă  dire ? Exactement.
- Ils ont peu de chance de s'en sortir, leurs brûlures sont du troisième voir des quatrièmes degrés.

Je ne réagis pas, j'essaie de comprendre ce qu'il est en train de me dire, j'ai la tête en compote. Mais je demande :

- Et ma sœur comment va-t-elle ? Est-elle en danger de mort au même titre que mes parents, a-t-elle une chance de s'en tirer?

Il me répond :

- Mademoiselle, je connais votre réputation. Vous connaissez beaucoup de chose au monde médical. Je vais donc être franc avec vous. Votre sœur à une toute petite chance de s'en sortir quand on compare son cas avec vos parents, cependant il ne faut pas trop rêver. Elle est dans le coma et a plusieurs brûlures sur les jambes, sur les bras et dans le dos. Son corps étant petit elle est plus brûler qu'un adulte aux endroits que j'ai cité.

Je sens que je vais défaillir, mais je me dis, pas maintenant pas tout de suite :
)
- Je voudrais la voir, ma petite Elssy, dis-je d'une voix quasiment inaudible mais suffisamment forte pour me faire entendre s'il vous plait.

Il a de la peine pour moi ça se voit. Il acquiesce et me demande de le suivre. Il dit aux autres d'aller dans la salle d'attente. Jeremy aurait aimé venir avec moi pour me soutenir. Mais moi-même je ne devrais pas pouvoir y accéder. La seule raison est que je suis la fille de la chef. Je sais que ce que je vais voir ne va pas être joli. J'ai vu beaucoup de brûlure mais c'était des photos, jamais dans la réalité, jamais sur ma si jolie petite sœur. Il me demande de passer un blouse, des gants chirurgicaux et avant ça de me nettoyer correctement les mains. J'ai aussi droit au chausson vert et au masque. Je n'ignore pas les raisons de telles précautions. C'est pour éviter que les plaies ne s'infectent. J'arrive dans une chambre au couleur rose pastelle, au milieu contre le mur se trouve un lit au côté duquel il y a plein d'appareils : un électro cardiogramme pour vérifier que son petit cœur fonctionne et un autre aussi que je connais bien également : un appareil respiratoire pour lui fournir l'air dont elle a besoin. Son petit corps est recouvert de bandes : les bras, les mains, les jambes et son torse seul sa tête est restée intact. Comment est-ce possible ? J'en ai les larmes aux yeux. Si jamais elle se réveille les séquelles d'un tel traumatisme seront considérables. Je l'aime tant ma petite sœur, elle est si gaie. Que va-t-il advenir de son future si maman et Antoine venaient à mourir. Je ne pourrais pas les laisser nous séparer, je connais très bien les lois de Française et je connais les conséquences qu'elles pourraient être leurs répercussions avoir sur toutes les deux. Je reviens à la réalité et m'assoit sur une chaise prés du lit, je l'avance près du lit. J'ai les mains l'une dans l'autre comme pour prier, les coudes posées sur le lit, j'espère qu'elle va s'en sortir. Je ne sais pas si j'aurais le courage de vivre si maman et Elssy venaient à mourir. NON! Je ne dois pas penser comme çà ! ! Ce serait agir par égoïsme que de vouloir en finir, ce serait projeté le futur de NOTRE monde dans l'Abîme des Enfers et entraîner la mort de mon équivalence dont je connais l'existence mais que je n'ai jamais rencontrée du moins je crois.

Cà fait déjà plusieurs heures que je la regarde, j'ai peur que son cœur ne s'arrête, je suis fatiguée mais tant que je ne la saurais pas hors de danger je ne pourrais dormir. Soudain, une main se pose sur mon épaule c'est le docteur Messini, il me dit :

- Vous devriez aller vous reposer.

Je fais non de la tête. Il connaît ma mère et vue ma prestation de ce matin avec l'infirmière comme avec lui il sait qu'il n'obtiendra rien de quelqu'un de têtue. Il dit quand même :

- Je suis désolé mais vous allez quand même devoir sortir de la chambre car le chef de service est arrivé et si il vous voit là il va s'en prendre à moi.

Je lui rétorque amère :

- il est peu probable que le chef de service s'en prenne à vous puisque c'est vous le chef de service !! Je le sais car j'ai lu le dossier vous concernant, c'est moi qui est sélectionné votre candidature, malgré le fait que je sois encore une adolescente de 16 ans, mes responsabilités sont plus grandes que vous ne l'imaginez ma mère a tenue à me préparer à l'éventualité de sa mort. Mais je vais quand même obéir à votre ordre et sortir de la chambre.

Il ne sait pas quoi dire, il n'aurait jamais cru que sa place était dut à une gamine. Je le plante sur place, et sort. J'ai mal à la tête, j'ai envie de vomir, les jambes se dérobent peu à peu sous moi. J'avance quand même jusqu'à ce que je voie Jeremy, il m'aperçoit et c'est à ce moment là que je m'écroule.

Des gens m'entourent, Jeremy me prend dans ces bras et une infirmière me donne un sucre avec de l'alcool de menthe, j'ouvre les yeux, Jeremy me tient dans ses bras, je me suis évanouie à cause de la pression et du fait que j'avais faim et que je ne m'en été pas aperçut mon organisme. On me dit que ma sœur s'est réveillée que c'est un vrai miracle. Je n'en reviens pas elle est sorti de son coma.

Alors que je suis auprès de ma sœur, elle dort toujours, elle n'a plus l'appareil respiratoire, je suis soulagée. Un homme entre dans la chambre, je le reconnais c'est lui qui gère nos affaires avec l'héritage de Papa. Il me dit :

- Bonjour Mademoiselle Kay, comment allez-vous ?

- Bien et vous Monsieur MOORE.

- Je vais aller droit au but, nous avons un problème.

- Lequel ?je demande inquiète.

Il me l'explique, je demeure muette que puis-je dire ? Il m'explique la solution qu'il a trouvée. Je reste interdite, faire une tel chose. Mais c'est pour le bien de ma sœur. J'ai pris ma décision, et la lui donne il l'approuve. Je lui précise bien que je ne fais pas ça pour moi mais pour ma sœur. Il sort de la chambre.

Ce rêve, était-ce un rêve ou la réalité? Suis-je réellement intervenue?