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Manga / Anime

Sailor Moon

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Deux mondes confondus (version 1)

Petite Lady

Résumé : Fic Alternative - Redécouvrez l'ancienne version de ma fic Deux mondes confondus. Il existe une nouvelle version de cette fic en cours d'écriture ^^ en attendant profitez de cette histoire ^^

Disclaimer : Les personnages de Sailor Moon appartiennent à Naoko Takeuchi. Les autres sont à moi ^^ pas touche !

Deuxième chapitre de l'ancienne version de cette fic :) bonne lecture

Chapitre 2 :: Impressions troublantes


Nous retournons auprès de ses amis dont la fille me semble antipathique, visiblement elle ne m'apprécie pas, il est possible qu'elle soit amoureuse de Jeremy, je ne sais pas, je n'ose pas lire dans son cœur, j'ai peur de ce que je pourrais y lire. Nous allons boire un verre dans un bar près de son lycée. Finalement à ma grande surprise Jeremy déclare qu'il est amoureux de moi depuis notre plus tendre enfance et que ce que nous vivons et la distance qui nous sépare ne fait que nous rapprocher et renforcer les liens qui nous unissent déjà. Je suis gênée extrêmement gênée. Jeremy le voit bien et me dit tout bas en approchant sa bouche de mon oreille, il chuchote en un français parfait :

- Je suis désolé de te mettre dans l'embarras, mais saches que je ne dis que la stricte vérité c'est à dire ce que je pense réellement de toi. Et je te dis qu'un mot : je t'aime depuis toujours et je t'aimerais toujours.

Il m'attire à lui et m'embrasse sur le front, pour ne pas me brusquer et pour que je ne me sente pas gênée face à ses amis. Mais personnellement je suis déjà assez mal à l'aise. Au bout d'une heure nous nous retirons et allons chez lui. J'entends leur pensée et deviens rouge jusqu'aux racines. Jeremy voyant ma gêne il me dit :

- Ne fais pas attention à leurs pensés, ils ont les idées mal placées.

Il m'embrasse sur la joue, et à ma grande surprise je lui rends en l'embrassant moi sur la bouche je ne pensais pas le faire si naturellement. Il est surpris, il ne pensait pas que je ferais le ferais mais il à l'air content de mon geste, je me sens si bien en sa présence. Arrivé dans son quartier nous prenons le bus. J'ai soudain terriblement mal à la tête, je m'accote à Jeremy et ferme les yeux en essayant d'endiguer la douleur. Jeremy s'aperçoit de ma douleur et avec sa force parapsychique stoppe partiellement ma douleur. Je le remercie. Nous arrivons chez lui à 18h30, ces parents sont là, je me détache de leur fils pour jouer la jeune fille bien élevée qui vient passer son week-end auprès de son meilleur ami. Je m'excuse de ne pas avoir prévenu plutôt, car cela c'est décidé très vite. Nous montons dans sa chambre, un truc me choc systématiquement c'est l'ordre et la propreté qui règne chez eux. La chambre est également extrêmement bien ranger mais je suis à chaque fois rassurée de voir de la poussière sur les étagères et la télévision. Jeremy s'en va quelques minutes, j'en profite pour voir quels sont les mangas qu'il a acquit. Comme à chaque fois, je sais que demain, il m'emmènera aux magasins de distributions de manga, il me paiera comme à l'accoutumé un ou deux posters et ma carte de transport pour aller à dans le centre. Il revient dans la chambre avec un air embêter, il me dit :

- Je suis désolé, je vais devoir aller travailler ce soir, mon patron refuse de me donner ma soirée.

Je ne dis rien, je n'ai pas envie de rester toute seule ce soir. Il le sait, il me prend dans ses bras et me dis que si je veux, je peux venir avec lui et que je m'installerais dans la salle. Je réfléchis et lui dis :

- Je crois que je vais rester là. Je ne veux pas te gêner dans ton travail, de plus s'il y a des ennuis tu ne peux pas te permettre de me protéger alors que tu dois servir tes clients.



Je fais un sourire forcé. Je m'écarte de lui un peu, mais il me ramène à lui et m'embrasse tendrement. Pourquoi est-il si gentil avec moi ? Je ne fais que lui attirer des ennuis, à mes amies aussi. Je ne veux pas qu'ils leur arrivent malheur par ma faute, pourquoi ai-je l'impression qu'un danger guette ceux qui m'entourent. Il se rend compte que quelque chose cloche car il me connaît suffisamment pour connaître pas mal de mes réactions surtout quand la vie de mes amis est en jeu. Il me rassure avec des mots qui me rassure :

- Tu as peur ! ?

J'acquiesce de la tête, je tremble maintenant, j'en peu plus je suis à nerfs, à cause de MC qui m'a dit des choses désobligeantes. Je la déteste cette pourriture. Mais je dois faire avec, je n'ai pas le choix. Tout d'un coup il m'enlace, il est si tendre, si doux, si je pouvais, je me laisserais aller à mes rêves et à mes désirs les plus enfoui en moi. Il me demande tout doucement alors qu'il m'a allongé sur le lit et qu'il vérifie que la porte est bien fermée.

- De quoi as-tu peur ? Suis-je trop brusque ? Tu sais que je ne veux pas te bloquer, te faire du mal. Tu le sais ?
- Oui je sais, ce n'est pas ça. J'ai peur de notre relation. Tu es mon meilleur ami, je ne veux pas te perdre parce que ça ne marche entre nous, tu comprends ? J'ai besoin de notre amitié, elle est vitale, elle me permet de me battre, de ne pas renoncer, de plus j'ai un mauvais pressentiment.
- Tout marche entre nous, ma chérie, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais toujours, je ne te laisserais jamais tomber quoi qu'il arrive. Je t'aime trop pour te faire souffrir. Et si un jour j'agis par égoïsme ou par intérêt personnel dis-le-moi et je te promets que je changerais.

Il m'embrasse encore et encore. Il essaye de me dévêtir mais là je me bloque et je le repousse, je ne sais pas pourquoi j'agis comme ça. Il est surpris mais il réagi bien à mon refus, il se contente de m'embrasser tendrement pour me détendre. C'est incroyable comme il est gentil et compréhensif. Je sais qu'il sait que je me suis enlevée quand j'étais petite et que j'ai beaucoup souffert même si on n'en voit que les contrecoups, en effet, je ne me souviens pas de cette partie de mon enfance. Je l'ai oublié parce que j'avais tout simplement besoin de l'oublier, pour pouvoir vivre autre chose et peut-être pour connaître une meilleure enfance avec des sentiments et des perceptions différentes, plus agréables. C'est une chose que je n'ai jamais réellement réussit à effectuer. Jeremy me dit :

- N'es pas peur. Je ne te forcerais pas, je sais que cela doit de te rappeler mauvais souvenirs, je ne veux pas te brusquer, surtout pas. Je veux te donner mon amour et tout ce que je ressens pour toi, mais je ne veux pas te voir souffrir, je t'aime. Tu entends, je t'aime.

Il est gentil, si gentil. Mais je ne peux pas me contrôler, je tremble. J'essaye de me raisonner mais ça marche pas. Pourquoi, me suis-je bloquée, pourquoi ai-je si peur ? :

- Tu sais, je t'aime. Mais j'ignore pourquoi je me bloque. Je voudrais te faire plaisir en me donnant à toi, j'en ai envie aussi, seulement, je suis comme bloquée, je suis anxieuse et j'ai peur. Mais je ne sais pas pourquoi j'ai si peur des hommes en générale et de la place que tu veux prendre auprès de moi. Et puis il y a ce drôle de rêve que j'ai fait dans le train en montant. Oh ! Jeremy, aides moi à comprendre ce qui se passe dans ma tête et pourquoi cela commence-t-il maintenant, depuis la mort de mon père ?
- Tu … tu as dis que tu as dit que tu m'aimes….



A cette phrase, je deviens rouge écarlate, je ne l'ai pas fait exprès les mots sont sortis tout seuls. Il continu :

- tu ne dois pas faire avec moi quelque chose si tu n'en as pas envie. Je ne te demande pas de faire l'amour avec moi pour me faire plaisir. Au contraire, il faut être tous les deux prêts. Si tu n'es pas prête ce n'est pas grave, nous ne sommes pas pressés, au contraire nous avons toute notre vie pour nous offrir l'un à l'autre. De plus je crois que tu te bloques pour deux raisons, peut-être que je me trompe, tu n'es pas prête pour le faire et deuxièmement je pense que tu as eu plus de séquelle de ta petite enfance que tu le penses. Encore une fois je t'aime, et je suis content que tu partages ce même sentiment.

Tout d'un coup, nous entendons frapper à la porte, c'est sa mère, elle nous demande de descendre pour manger. Je suis surprise, je suis mal à l'aise ma chemise est déboutonnée et la fermeture éclaire de mon jean est descendu. Jeremy m'embrasse en me disant de ne pas m'inquiéter. Il dit à sa mère que l'on arrive tout de suite. Je suis toute décoiffée et à moitié dévêtue, si mon père me voyait, il me traiterait de fille indigne, il serait dégoûté par mon attitude. Heureusement il ne peut plus me faire de remarques sur les personnes que je rencontre, sur la façon dont je dois m'habiller et me comporter. Je dois penser à autre chose si non je vais pleurer et je ne veux pas pleurer. Je me repeigne comme je peux et réajuste mes habits. Quand j'ai fini, Jeremy me prend par surprise par la taille, me serre et me soulève un peu pour me retourner. Je suis tout à coup mal à l'aise, j'ai peur, je le repousse et m'éloigne de lui.

J'ai en même temps des visions, on me prend par derrière et on me monte à l'étage, on veut me faire mal.

Je tremble j'ai peur je m'accroupis et pleure. Jeremy est inquiet c'est la première fois qu'il me voit agir ainsi, il s'approche me touche l'épaule et voit la même chose que moi. Il ne sait pas quoi dire. Il finit par lâcher :

- Si je tenais le salop qui t'a fait du mal. Je le tuerais. Je te jure. Je le tuerais. On à pas le droit de faire ça à une petite fille. (Et avec de la haine il acheva), surtout à toi. Personne n'a le droit de te faire du mal. Je le tuerais ! je le tuerais !!

Sa réaction me fait peur. Pas pour moi mais je ne veux pas qu'il gâche son avenir pour moi. Il est genoux à terre devant moi, la tête baissée. Je prends sa tête entre mes mains, je lui embrasse le front. Et front contre front.

- Tu sais j'éprouve moi aussi de la haine pour celui qui m'a gâché ma petite enfance. Je t'en pris regarde moi (il lève les yeux et me regarde j'ai les larmes aux yeux). Mais on n'a pas le droit de se venger, tu le sais. Si nous le faisions, nous détruirions notre futur et nos rêves. Et nous ne pourrions plus devenir ROI et REINE, nous ne pourrions pas nous accomplir en tant que tel. Ce qui compte, c'est que je sois là, non ?

Je l'embrasse avec tout mon amour. J'ajoute :

- Je ne veux pas que la haine intervienne dans notre vie ; je ne veux pas que notre existence soit gâchée à cause de ce sentiment.
- Tu as raison ne laissons pas ce sentiment s'immiscer dans notre vie.

Il m'embrasse, je suis cette fois-ci très réceptive et je lui rends son baiser. On décide de descendre avant que sa mère ne perde patience. Après le repas, j'aide à débarrasser tandis que son père l'emmène à son travail. Il a promis qu'il rentrera le plus vite possible.